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Drugs, not hugs. — Andreas E. Wade

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MessageSujet: Drugs, not hugs. — Andreas E. Wade Drugs, not hugs. — Andreas E. Wade EmptyJeu 24 Jan - 18:54

Wade Adreas E.

Drugs, not hugs. — Andreas E. Wade Andrea13
Nom : Wade
Prénoms : Andreas Elijah
Sexe : Masculin
Âge et date de naissance : 23 ans, 20 septembre 1989
Race : Neko
Sexualité : Hétérosexuel
Métier : Barman au Bar Shinju, glandeur un peu badass le reste du temps.



Morphologie
Andreas est un grand jeune homme. Mais quand je dis grand, ce n’est pas géant. Mais grand quand même. C'est-à-dire qu’il mesure environ 1m85 et des brouettes. Mais ce qui accentue cette impression de grandeur, c'est surtout le fait que Thorn est plutôt svelte.
En terme de musculature, il n'a bien sûr pas le physique d'un culturiste, mais il n'est pas à plaindre non plus. Les bagarres ont relativement sculpté son corps, d'ailleurs pas seulement au niveau musculaire, mais nous verrons cela plus tard.
Notre ricain possède un teint plutôt hâlé; oh bien sûr, pas celui d'un surfeur Californien, parce que le temps ensoleillé ne caractérise pas tellement l'Oregon. Andreas a donc le teint mat, peut-être à cause de ses origines, qui seraient apparemment lointainement latino, italiennes ou espagnoles, on ne sait pas. Peut-être pour les mêmes raisons, ses cheveux sont noirs, très noirs. En revanche, sa pilosité ne correspond pas tellement à ce à quoi l'on pourrait s'attendre.
Bien sûr, Thorn (c'est le surnom d'Andreas) n'est pas glabre, loin de là, mais sa "fourrure" n'est ni aussi foncée ni aussi dense que ce à quoi l'on pourrait s'attendre. Bref, après cette parenthèse fort intéressante sur les poils de l'animal, revenons en à nos moutons.
Ses cheveux sont donc bruns, et mi-longs, disons qu'ils lui arrivent à peu près au milieu du cou pour les mèches les plus longues, mais d'autres s'arrêtent à à peu près tous les niveaux, et camouflent presque les petites oreilles de chat que le neko porte sur la tête et qui, si elles étaient particulièrement visibles lorsqu'il était enfant, semblent avoir beaucoup moins grandi que le reste de son corps. et qu'ils ne sont pas particulièrement raides, ce qui fait qu'ils peuvent tomber harmonieusement le long de son visage. Ledit visage est parsemé, notamment au niveau des pommettes, de tâches de rousseurs relativement visibles, mais pas indéniablement remarquables. Il possède un nez droit, des yeux en amande de couleur marron, des sourcils moyennement épais, et une bouche peu pulpeuse.
Je crois que nous avons décrit l'allure général d'Andreas, reste simplement à ajouter qu'il a des grands pieds, de grandes mains, des épaules et un dos large, un long cou et de longs bras et jambes. Voilà maintenant je crois que c'est à peu près bon. Notre boxeur en herbe n'a pas de style vestimentaire particulier. A vrai dire, il porte un peu de toute, que cela lui aille ou non. Cela dit, certaines tenues ou vêtements reviennent régulièrement, à savoir le jean rouge foncé délavé et déchiré, un peu large mais pas trop, le haut avec un col à trois boutons détachés, à manches longues, courtes, blanc, noir, d'une autre couleur, délavé, déchiré, large, près du corps etc., le jean noir, le jean bleu-gris déchiré de partout, d'où sort toujours un appendice caudal assez long, à fourrure mi-longue et ébouriffée, le pantalon de jogging qui ne ressemble pas tellement à un pantalon de jogging si ce n'est par le fait qu'il est large et plutôt élastique, le pull, les différents T-shirts, blousons etc... Il n'y a en fait qu'une seule chose que le corps d'Andreas rejette, c'est la chemise. Sur lui, elle semble inadaptée, froissée d'un côté, prête à éclater de l'autre... Bref, on évitera donc l'erreur de la chemise. Au niveaux chaussures, il porte un peu de tout : baskets, converses, vans, et des tennis qui ressemblent à des fred perry, quelquefois, aussi.
Il lui arrive aussi de porter des bonnets, des écharpes, et tout ce genre de trucs, en revanche il ne porte que peu de bijoux, si ce n’est un collier en perles qui semblent être de pierre ou de terre cuite foncée, qu’il a toujours autour du cou.

Transformé, c’est un chat noir aux yeux oranges à peu près banal, avec cependant quelques particularités : son poil est mi-long, toujours ébouriffé, comme s’il s’était roulé dans une flaque de gel, et il a deux cicatrices pelées sur le flanc droit. Ses yeux cuivrés surmontent un museau assez court, avec un nez noir entouré par des moustaches très courtes comme si elles avaient été coupées volontairement. Il a également un collier en perles de terre cuite autour du coup, le même que celui qu’il a avec son apparence hybride.
Psychologie
Andreas a toujours eu, c'est sûr, une certaine propension à l'agressivité et à la violence. Seulement, durant son enfance, étant petit, maigrichon, assez froussard et peu sociable, il en était plutôt victime, et subissait les moqueries de ses camarades sur sa mère et son père, sur son milieu social, sur son niveau de richesse et tout le reste. Mais en grandissant, bien que gardant un côté plutôt peu bavard la plupart du temps, il devint plus jovial, plus fort, et grandit en tous points. Bientôt, il fut celui qui victimisait ses anciens bourreaux, que ce soit sous forme hybride ou féline.
Son agressivité n'est cependant pas sans discernement. Se battre lui procure de la sérénité, et un genre de paix intérieure, presque l'ataraxie. En tout cas ce qui est sûr, c'est qu'il est bon joueur : s'il perd un combat, il le reconnaît, et va seul à l'hôpital se faire recoudre l'arcade sourcilière. De même il est loyal envers ses amis. En revanche lui vient sans doute de sa mère et de ses penchants pour les substances illicites un certain goût pour le danger, et la défonce/tise, goût qu’il a fini par maîtriser pour ne plus prendre que des risques minimes, et qui lui a même permis de trouver un boulot : le poste de barman lui convient à la perfection.
Finalement, le petit gamin recroquevillé dans les chiottes est devenu le mec bien foutu et viril que les filles s'arrachent... Ce qui n'est pas pour lui déplaire. A côté de ça, il a également tendance, et c'est peut être cela aussi qui fait son charme, s'il parle peu, à parler efficace.
Je veux dire par là qu'il a le sens de la formule, que ce soit pour envoyer quelqu'un paître ou pour dire quelque chose de positif. Ses mots sont ce qu'ils sont, incisifs, tranchants mêmes, brefs et concis.
Ainsi, Andreas et quelque chose entre le mec mystérieux, le brun ténébreux qui plaît aux meufs, fume continuellement et boit du café noir sans sucre, timide sur les bords, et le pote sincère et grande gueule à la fois populaire et admiré, et jalousé voire détesté, mais qui en tout cas ne laisse pas indifférent. Ce qui est sûr c'est que sa présence se fait sentir, à la fois parce que c'est gênant de se sentir observé par quelqu'un qui ne dit rien, et à la fois parce qu'il est "so je ne sais quoi".
Mais ce qui est sûr, c'est que malgré ce qu'on sait de lui, à savoir qu'il est louche, qu'il peut vous loger son poing entre les mâchoires s'il considère que c'est ce qu'il vous faut, et qu'il peut vous renvoyer paître, sa loyauté se fait sentir et est reconnue par tous, si bien que l'on considère souvent que c'est une personne de confiance, même si on ne le connaît que très mal; on suppose qu'il va sinon trouver les mots justes pour vous réconforter ou vous remettre sur pieds, au moins écouter attentivement votre confidence. Et c'est pas si courant, quelqu'un comme ça, de nos jours. Bref, sous ses dehors un peu brute, Andreas est, comme le dit son père, un gentil garçon, qui a un peu dérapé pour diverses raisons, mais qui n'est en définitive ni bête ni méchant.
Ce que l'on peut dire, bien sûr, c'est qu'Andreas aime fumer (des cigarettes ou un bon joint, voire même éventuellement se faire une ligne de coke mais bon, faut pas trop abuser), faire la fête et pourquoi pas boire, se battre, écouter des musiques douloureuses pour les oreilles comme la dubstep, l'électro ou le punk, et d'autres moins douloureuses comme le rock alternatif ou le rap. Il aime aussi les filles, de préférences celles qui veulent bien coucher avec lui (et donc par extension le sexe et ce qui s'y rapporte, nous ne préciserons pas), mais aussi les autres, et oui, il n'est pas difficile. Bon, après en termes de nourriture il n'a pas de préférence, tant que ça se bouffe, ça lui va. Idem pour les vêtements, même s'il a un certain style qu'il préfère, après tout, tant que ça se porte et que ça tient chaud... En revanche, il a des odeurs favorites, par exemple celle de la terre après la pluie, celle de l'humidité d'un sous sol bétonné, de la viande grillée au dessus d'un feu allumé dans un vieux baril, des pétards allumés qui sont en train de tourner, et même l'odeur de l'herbe mouillée le matin après une fête en plein air. Si c'est pas de la sensibilité ça.
En revanche, il a un peu de mal avec les personnes geignardes; il a toujours fait en sorte, depuis la fin de sa petite enfance, de rester digne, et entend que chacun en fasse de même. Il n'aime pas non plus avoir la gueule de bois, mais ça personne. Il apprécie encore moins les mecs qui se la jouent BCBG pour être bien vus et devenir populaires. En fait, il n'aime pas les gens qui veulent devenir populaire; pas parce qu'il a peur de perdre sa place, de toute manière il ne se rend même pas compte de sa côte auprès des gens, mais parce qu'il considère que c'est une pathétique perte de temps. Il méprise aussi tous les gens "honnêtes" et "bien pensants", qui considère comme des vieux bouffis d'eux mêmes et condescendants. Enfin, il n'aime pas se soumettre à une autorité qu'il n'a pas choisi lui même.[/

Histoire
Je suis né à Detroit, dans le Michigan, aux Etats-Unis. Les gens disent souvent que c'est une ville dangereuse, pleine de délinquants. Et ils n'ont pas tort. Sauf que c'est ça, puissance mille. Ma mère était, et est toujours, je suppose, une putain de camée. Je ne suis pas sûr que le "de" entre les deux mots aie de l'importance, d'ailleurs. Toujours est-il qu'elle était fiancée avec mon père. Enfin avant qu'il la quitte bien sûr.
Mais ça c'est plus tard, nous en reparlerons au moment opportun. Elle était donc une putain de camée. Et lui buvait trop. Bref, c'était un couple de jeunes paumés qui cherchaient une échappatoire dans ce qui leur était interdit. Quand je suis né, ma mère avait dix-neuf ans, et mon père vingt. A l'époque, ils croyaient en l'avenir. Un vrai Requiem For A Dream.
Je suppose qu'ils se sont occupés de moi du mieux qu'ils pouvaient. Pendant mon enfance, j'étais souvent la victime expiatoire, le morveux maigrichon sur lequel s'acharnent tous les autres gosses quand ils en ont marre de se battre pour une couleur de peau où un lieu d'habitation. Finalement, à la fin de ma primaire, mes parents avaient réussi, je ne sais pas comment et je ne veux pas le savoir, à économiser assez pour déménager à Portland, dans l'Oregon. Dans le quartier le plus minable de la banlieue, mais dans une ville calme. Et tout allait mieux.
Enfin, pas entre mon père et ma mère par contre. Mon père, qui avait décidé d'arrêter de boire, voulait que ma mère se sèvre aussi de toutes les drogues qu'elles prenait. Mais apparemment, soit qu'elle n'aie pas voulu, soit qu'elle n'aie pas pu, elle ne l'a pas fait; il a fini par partir, considérant, comme il le disait, qu'elle "le tirait vers le bas". Je me souviens encore des engueulades, et du soir où il a finalement pris quelques affaires, a fait sa valise, et est parti.

"-- Putain, Jess, lâche moi ! Je me casse ! Tu ne fais aucun effort, vivre ici est un enfer ! Je ne peux pas rester ici ! Et si tu aimes ton fils, laisse-moi l'emmener, tu ne peux rien lui apporter de bon !"

Mon père repousse violemment ma mère en larmes, qui s'était accrochée à son bras. Elle tombe en hurlant, comme elle le fait si souvent ces temps-ci, et peine à se relever. Je ne sais pas quel truc elle a encore pris, je ne vais pas l'aider. J'ai toujours préféré mon père. Je reste tapi derrière l'encadrure de la porte, silencieux. Comme si un gamin de 11 ans pouvait faire quelque chose, de toute manière.

"--Bébé, je t'aime, ne pars pas, s'il te plaît, j'ai besoin de toi, et puis, on est pareils tous les deux, tu n'est pas plus fort que moi, tu vas retomber là dedans ! Où est-ce que tu vas aller ? Tu vas aller voir ta femme pratiquant le plus vieux métier du monde pas vrai ? Je te hais, je te hais, tu peux bien partir, crève, ça ne me fera que plaisir ! méchant garçon ! Tu ne prendras pas mon fils ! Je suis sa mère, il reste avec moi !"

Intérieurement, je prie pour que mon père insiste, ce qu'il fait; mais ma mère tient bon. Quand elle décide de ne s'exprimer qu'en hurlant et en pleurant, menace de rameuter les voisins, de tuer mon père, de me tuer, puis de mettre le feu à la maison, puis de se tuer, il obtempère. Je pense que c'est surtout la dernière menace, qu'il sait possible de se réaliser, qui le décide. Elle ne serait pas capable de mettre les autres à exécution. Quoiqu'on ne sait jamais. Quand me mère est high, je la crois capable de tout. Comme cette fois ou elle s'est transformée en chat et a sauté par la fenêtre du deuxième étage. Bon heureusement un chat retombe toujours sur ses pattes. Elle, elle est retombée dans les buissons; et il n'y a pas eu de mal.
Enfin, ma mère me donne parfois l'impression d'être possédée. Ou un truc du genre.


Enfin bref, mon père est parti, il a déménagé à Philadelphie, et m'a laissé chez ma mère. Et c'était à cette époque, alors que je venais d'entrer au collège, que j'ai commencé à prendre conscience que mon corps pouvait m'être utile. Je suis devenu légèrement agressif, j'ai commencé à me battre, d'abord rarement, puis tout était prétexte à un combat. Mon prof de sport de troisième année remarqua ma "vivacité" et ma "pugnacité". Il décide qu'il me veut dans le club de lutte.
Mais au bout d'environ quatre mois, je me fais expulser : je suis un élément qui a du potentiel mais je n'arrive pas à respecter les règles. J'ai cassé deux dents à un camarade, et foulé la cheville d'un autre. Je suis ingérable. Ma carrière sportive et avec elle ma chance de me sortir de ce trou de m*rde qu'est ma vieille banlieue pourrie s'évapore à ce moment là. Je suis viré de ce collège mais un autre m'accepte vite, heureusement. Mes notes étant potables malgré un "manque certain d'investissement", une "négligence arrogante" et un "désintéressement ostentatoire" me permettent de passer au lycée. Sans en avoir l'air, je suis un espèce de caïd. Je ne trempe pas tellement dans les trafics. Il m'arrive bien sûr de consommer des choses illégales, parce que je n'ai pas l'âge ou parce qu'il s'agit de substances illicites, mais je ne me suis jamais fait choper. Bien sûr je me fais des ennemis à force de cogner ou d'être trop cynique et honnête. Ou de piquer les meufs d'un certain nombre de mecs. Bref je deviens peu à peu un bad boy. Mais un bad boy sympathique. Je n'ai pas de vrais amis, juste un certain nombre de potes avec qui je traîne. Et puis je rencontre ces mecs qui ont un genre de club de boxe clandestin où tous les coups sont permis. Je suis emballé par l'idée. J'y vais de plus en plus souvent. Je gagne des combats, j'en perds, je gagne des cicatrices et perd ma jolie gueule. Enfin apparemment ça ne gêne pas les filles. Je rentre de moins en moins souvent à la maison. De toute manière à chaque fois que je vois ma mère elle est soit complètement défoncée, soit, dans ses rares moments de lucidité, complètement hystérique. Je lui fais parfois des courses et un brin de rangement, parce que bon c'est ma mère et je dois m'occuper d'elle, mais je reste un nomade. Je crèche chez des potes, des filles, dans des gymnases, dans des sous sols. Je deviens un espèce de nomade.

Et un jour alors que je rentre voir comment ma mère va, je ne la trouve pas. Je frappe aux portes de tous les voisins, et je finis par apprendre que les flics ont débarqué et l'ont emmenée. Sa tendance aux hurlements et aux cris a fini par en agacer certains qui ont appelé les keufs. Je rage et manque de flanquer sa raclée au méchant garçon qui a prévenu les flics pour ma mère. Je finis par savoir où elle est, et lui rend une visite.
Je finis par rentrer habiter dans la baraque pourrie mais je n'y reste pas si souvent. Elle m'est surtout utile pour faire la fête avec des potes, de l'alcool et des meufs. Je sors, je tague, je me bats toujours dans ce club en sous sol, et aussi dans la rue. Finalement un jour je me fais choper en train de tagger. Finalement je m'en sors sans trop de mal. Une fois pour tapage nocturne "Meeerde, y'a quelqu'un qu'a appelé les flics...". Une autre fois en train d'inciter un gars à me frapper. Alors que je veux juste qu'il extirpe sa haine. Les gens ne comprennent rien. Bien sûr je suis inconventionnel. Bien sûr je suis subversif et dérangeant. Ma troisième arrestation se fait en même temps que celles d'autres mecs du club de boxe clandestin. Finalement mon père réussit à faire en sorte que, plutôt que j'aille en tôle, je sois intégré dans un institut pour jeunes délinquants. Là bas j’apprends le français et le japonais, je calme mon agressivité et apprends à la canaliser. En sortant, j’ai pour la première fois de ma vie une discussion avec mon père. Je n’ai que presque pas connu cet homme, je ne sais même pas à quoi il ressemble transformé. Mais je lui annonce ma décision de partir au japon. Il sait que je me suis repris, et que trois ans dans ce goulag m’ont calmé. Il ne sait pas que je bouillonne toujours au fond, même si j’ai décidé de faire les choses plus intelligemment.
Me voilà dans un avion pour le japon, direction Hikari. Mon niveau de japonais n’est pas excellent mais pourtant je ne me perds pas, trouve rapidement un appartement, et un job. Je participe quelquefois à des combats de rue, ou à des clubs de boxe clandestins, me fais quelques filles, vais à quelques fêtes, mais ne me fais pas plus d’amis que ça. Il faut dire que je ne suis pas nécessairement quelqu’un qui rassure au premier abord.
[/font]


Et vous ?
Pseudo : Birdy (oui comme la chanteuse sauf que j’avais ce surnom before it was cool.)
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Sexe : Ornithorynque (bon sérieux, avec mon pseudo, devinez.)
Comment avez-vous connu le forum ? GRÂCE À ACE BARBERY (j’espère que c’est écrit assez gros)
Remarque(s) : Euh bah je ça a l’air cool. J’ai faim sinon alors je vais me dépêcher pour aller acheter à manger.

Code : La louve s'est régalée. ~ (ça a un rapport avec My Little Pony ? Non ? J’extrapole ?



Dernière édition par Andreas E. Wade le Jeu 24 Jan - 19:54, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Drugs, not hugs. — Andreas E. Wade Drugs, not hugs. — Andreas E. Wade EmptyJeu 24 Jan - 18:57

BIENVENUE !!

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MessageSujet: Re: Drugs, not hugs. — Andreas E. Wade Drugs, not hugs. — Andreas E. Wade EmptyJeu 24 Jan - 19:53

MERCI ACE ! : )
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MessageSujet: Re: Drugs, not hugs. — Andreas E. Wade Drugs, not hugs. — Andreas E. Wade EmptyVen 25 Jan - 10:29

Bienvenue ! =) J'aime beaucoup ton personnage. :3
Pour ce qui est du code... Mmh à la base il me semblait que c'était parce qu'Akane aime beaucoup les tartes aux pommes mais étant donné que c'est une fan de Ma Little Pony ce n'est pas impossible que ça ait un rapport... Il faudra lui demander. x)
En tout cas, rien à redire, tu es validé ! ~ (J'ai même rien trouvé à chipoter.. Pauvre de moi ;-;)
N'oublie pas de faire recenser ton avatar (ici), de faire ta demande de logement (ici) et d'emploi (ici).
Amuse-toi bien parmi nous ! =D
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MessageSujet: Re: Drugs, not hugs. — Andreas E. Wade Drugs, not hugs. — Andreas E. Wade Empty

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