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Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne.

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MessageSujet: Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne. Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne. EmptyMar 6 Nov - 21:44

Amalia Fjaril

Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne. Amalia10
Nom : Fjaril
Prénom : Amalia
Sexe : F
Âge et date de naissance : ~21 ans, née le 10 juin 1991 ~
Race : Papillon
Sexualité : Bisexuelle

Métier : ~ Recherche un travail ~
Classe scolaire : ~ Uniquement pour les étudiants ~



Morphologie
Mon prince avait pour habitude de me décrire comme parfaite. Il n'ajoutait que très rarement d'autres compliments, et cela me suffisait. Oui, parfaite, je ne l'étais qu'à ses yeux, et comme je ne voyais que par ces yeux, j'en étais alors convaincue. Chez moi, il aimait ce regard d'une infini douceur que portaient mes sombres yeux, en parfait accord avec mon obscure chevelure. J'étais, selon lui une femme ténébreuse mais incroyablement tendre, gracieuse et douce. J'étais l'ombre et le péché de son âme, mais la tendresse et le réconfort de son coeur, de ses yeux. Il lui arrivait bien souvent de se perdre dans ce qu'il qualifiait de "divine obscurité": mes formes, mon être dans son intégralité, mon regard, mes cheveux, ma peau. Ma silhouette chétive, mon apparence fragile renfermaient pourtant une puissante aura: j'étais réellement l'ombre, au sein de laquelle se cachait la lumière. Oui, j'étais un être de paradoxe, je paraissais forte mais faible, solide mais fragile, lumineuse mais obscure. D'après mon trésor, il était impossible de me décrire, car ma beauté n'avait pour seule limite que celle de mes pleurs et de mon désespoir. Je ne sais si ce qu'il disait était vrai, car si je ne me préoccupe que très peu de mon apparence, je ne la trouve pas si sublime que cela. Mais aujourd'hui, mon prince ne peut complimenté ma personne. Il ne peut me dire à quel point il me trouve belle, à quelle point la magnificence de mon être est sans limite. Aujourd'hui, je pris pour que, rien qu'une seule fois, il m'admire et me sourie, me dise que je suis toujours aussi pure, aussi belle à ses yeux, mais il ne le peut. Alors, peut à peut, mon apparence changea. Était-ce une fausse image que je me faisait de moi-même, était-ce la pure vérité, je ne le savait, mais ma peau pourtant si sombre laissait paraître quelques lueurs blanches, et mon corps semblait bien plus chétif, bien plus vulnérable... Du moins, c'était l'idée que je m'en faisais. Il me semble peser entre cinquante et soixante kilo, pour une taille d'un mètre soixante-huit. Je ne préoccupe jamais de ce qui est corporel, physique et matériel, je n'attache nulle importance à ces éléments qui me semblent grotesques, et me concentre sur le sublime monde de l'esprit et de l'amour qui me liait à jamais à mon prince, bien que ma conscience soit devenue un vaste champ de bataille, un Enfer... Mon Enfer.

Sous ma forme animale, je demeure aussi fragile d'apparence, mais pourtant si sombre: mes ailes de couleur noires, rouges et orangées peuvent me porter haut dans les airs. Être si frivole, si petite, me donne l'impression d'être étonnement puissante: je peux espionner, me cacher, écouter, m'envoler, m'enfuir de ma réalité, je me sens libre, oui. Je n'ai pas grand chose à dire sur cette forme peu commune chez les hybrides, si ce n'est qu'elle me procure une liberté presque totale et un bien-être fou: le retour à l'état sauvage et naturel, l'envol et l'échappatoire, la lumière, et cette clarté bienfaisante en mon coeur.
Psychologie
On ne peut me connaître, ni me reconnaître. Je suis morte au monde, je suis morte à la vie. Les mots bonheur et liberté me sont inconnus, je suis la prisonnière de ma conscience, enfermée dans cette infâme prison que représente mon esprit. Je suis celle que le temps a oublié, blessé, brutalisé. Je suis celle qui prie obstinément le retour d’un être défunt… Non ! Que me surprends-je à dire ? J’attends le retour de l’être aimé. J’attends le retour de mon démon, qui croit que la mort l’a emporté. Mais je ne peux accepter cette idée. Je ne crois ni au destin, ni en une puissance supérieure, je ne crois qu’en mon amour, qu’en notre amour. Oui, parfois je dialogue seule aux yeux des gens, mais je sais à qui je parle. Je sais que mon prince entend mes paroles, et je sais qu’il me répond parfois. Oui, je sais qu’il est là, derrière ces barreaux mais ne peut m’en libérer. Je ne distingue ni le jour ni la nuit, ni le sommeil ni l’éveil, ni l’ombre ni la lumière, car à mes yeux tout n’est qu’ombre et Enfer. Les relations que j’entretiens avec autrui sont difficiles, car j’apeure quiconque veut me parler. ET pourtant, tout au fond de moi je demeure persuadée, de n’attendre que l’être qui pourra me sortir de ma prison et m’arracher au désespoir: peut-être ne s’agit-il pas de celui qui se croit mort, me hante, celui pour qui je n’accepte pas le mort… Peut-être un jour vais-je rencontrer une âme qui un jour me fera redécouvrir le bonheur. Oh, oui, je n’attends que ça, je n’attends que de m’en aller, je n’attends que de quitter ma prison, faite de pierre, de sang et de tourments.

Histoire
Vivre, sans un anathème, sans un interdit… Vivre, sans Dieu ni patrie, avec pour seul baptême, celui de l’eau de pluie… La nuit est si belle, et je suis si seule, je n’ai pas envie de mourir. Nddp

Mon sang substitue l'encre que je n'ai pas, pour graver sur ces parois mon désespoir, en ce jour de misère pour mon âme, en ce jour d'égarement du corps et de l'esprit. Je ne suis plus que l'ombre d'une pauvre hère désespérée, flânant en Enfer comme un couple dans un parc, et dont seul le reflet pouvait révéler la véritable nature.

Je suis revenu. Je suis là. Je m’approche. Et je te vois prisonnière de cette prison de pierre, avec pour seule présence celle de tes tourments immémoriaux. Ah, si tu savais mon amour, si je pouvais mesurer ta souffrance, alors peut-être moi aussi en serais-je touché. Plusieurs fois tu me l’as demandé, mais à t’extirper de tes démons, à les condamner je ne peux me résoudre… Car je suis ton démon…

Tais-toi je t’en supplie !

Ne veux-tu pas accepté cette triste réalité qui est la tienne, Ou alors n’as-tu plus pour réalité que la souffrance, l’angoisse et le désespoir pesant en ton âme comme ma mort a pu la blesser… Ou plutôt la tuer. Peut-être n’a tu plus d’âme, peut-être ne veux-tu pas accepter que je sois parti…

Ta gueule ! Ne parle plus, ne me reviens qu’en être de chaire, prêts à t’offrir à mes bras, qui depuis des années n’attendent que ton retour, qui à multiples reprisent ont pleuré d’un sang âcre ta disparition. Je t’en prie mon amour, dis-moi que celle-ci n’est que temporaire. Je t’en prie, dis-moi que tu me reviendra, et que du royaume des morts tu n’es pas ! Dis-moi qu’une nuit, tes bras me bercerons et m’arracheront à cet Enfer, à ces démons qui chaque jour me brutalisent sans jamais m’achever. Dis-moi que le peu d’espoir qu’il me reste n’est pas un vain supplice, dis-moi que j’endure souffrance et mutilation du corps et de l’esprit pour avoir le sublime honneur de pouvoir un jour partager avec toi l’une de nos nuits d’amour

Et si ton espoir n’était qu’une illusion, dans laquelle tu te berces depuis tant de temps … Si je n’étais que l’ombre de ton désespoir hystérique, de ta plus folle croyance, de ton plus déraisonné désir

Mon trésor… 653 jours, et je ne te parle pas de ces tristes nuits d’espérance.

N’espère plus que le salut et la paix à mon âme, n’espère plus que…

La ferme ! La ferme, ne prononce plus un seul mot, va-t-en pour ne me revenir qu’en chaire, je te l’ai dis mille fois. Oh mon amour, mon pauvre amour tu n’es pas mort, non, par le diable tu n’es pas mort

Je vois ton ombre disparaître, et ma prison de pierre, ma prison de sang et de supplice redevenir vide. Je ne voulais pas te chasser mon ange, non je ne voulais pas te chasser. Reviens moi, je t’en prie, je ne crois en aucun Dieu, je ne crois plus à l’espoir du commun, mais je crois en mon espoir, je crois en notre amour, oh reviens moi, et aime moi comme tu m’as aimé avant. Suis-je ta princesse, ta douce, ton ange protecteur, suis-je toujours ton trésor ô combien précieux, que jamais tu n’abandonnerais, pas même pour le paradis, pas même pour l’enfer qui chez moi est devenu résidence ? Ne m’arracheras-tu pas à ma géhenne, à mes cauchemars incessants, mon pauvre amour, si le purgatoire ne fait que commencer, je n'en peux déjà plus… Je ne vois que l’ombre de ma blessure s’agrandir, devenir rouge, je ne vois plus que la couleur de mon sang éclaircir ces maudits barreaux me séparant de la liberté et de la nature… Sans doute ta part de démence se délecte-t-elle en ce moment même à ma peine grandissante. Si je te dis que je souffre, que mes ongles arrachés griffent de toute leur force ce sol de pierre déjà encré de mon sang… Si je te dis que le peu de lumière en mon cœur se consume, que les brasiers de ma conscience embrasent mon amour, qui jamais ne pourra s’éteindre, et qui, alors, ne pourra que me faire attendre, attendre un ange qui ne peut me sauver. Oh, mon prince, libère moi de cette tour de pierre, libère moi de cette forteresse imprenable en mon esprit, libère-moi de ces parois glaciales. Recroquevillée, genoux contre poitrine je ne puis attendre, je veux m’éteindre mais mon amour me guide, un peu plus chaque jour vers l’acharnement de mon Enfer, vers la sainte route d’une mort naissante. Oui, je suis morte au monde, oui, je déchire mes vêtements en haillons, nue dans cette tour, fruit de mes cauchemar, barrière en mon esprit, symbole de ta perte. Depuis combien de temps n’ai-je pas senti l’eau de pluie battre sur mon visage, comme ces flamme dévastatrices battent sur mon âme…

Pourriture. Je t’aime, et ces mots ne sont que vérité. Pourriture. Je te veux à moi, mes bras réclament ta divine présence. Ordure, démon de mes jours, fantôme de mes nuits. Je te hais. D’avoir disparu, probablement. Mais je ne peux que t’aimer. Te dévorer. Dévorer ton esprit, dévorer ton cœur et tes mots, dévorer ta chaleur et ton étrange odeur, cette odeur d’amour et de réconfort. Je dévorerais ton être entier si cette prison ne m’en empêchait pas. Je donnerais à ton ombre une lumière nouvelle, une aube toujours plus belle, si seulement tu me revenais.

Je me réveillais Tremblante, je croyais à un cauchemar. Et de mes bras je te cherchais. Mes mains ne trouvèrent que des barreaux et un sol de pierre, encore humide et glacial, tel que celui de mes songes. Alors je n’ouvris pas les yeux. Alors, ma complainte déchira l’équilibre du temps et de l’espace, mais ne raisonna pourtant pas. Alors, mes démons revinrent. Je devint leur jouer, la marionnette du diable, l’ombre et la pitié. J’implorais mon amour, mon prince que mes doigts cherchaient. Mais je n’ouvris pas les yeux. Pas une seule seconde. Je restais aveugle, pour ne plus voir de ma prison que l’obscurité. Ainsi, peut-être un jour disparaîtrait-elle, et mon amour me reviendrait-il.


La libération corporelle

Mon amour... Je crois que mon esprit est toujours prisonnier de mes blessures, ou du moins que mes blessures me retiennent prisonnières. Mais aujourd'hui, je crois que mon corps est libéré de cette maudite étreinte, de cette étreinte de l'ombre qui m'empêchait de me mouvoir et de vivre. Oui, ces 653 jours de géhennes ne sont pas achevés, je sais que tant que tu ne me sera pas revenu, mon Enfer continuera de persécuter. Mais aujourd'hui, j'avais le besoin de me raccrocher à l'existence... Cette existence banale, cette vie sociale que je ne connais plus, afin de connaitre à nouveau ce qu'est l'amitié, ce que sont les liens entre deux êtres humains... C'est pourquoi je me suis rendue dans un pensionnat, non loin de ma ville natale, non loin de Tokyo, où mes parents depuis bien longtemps ne sont plus. Tu sais qu'ils ont disparu un matin, mais qu'ils ne sont pas morts. Tu sais qu'ils m'ont abandonnés depuis que ma blessure s'est faite. Depuis ta mort, je ne suis plus la même, et peut-être leur avais-je fais peur. Depuis, mes démons veulent m'attirer dans les ténèbres, depuis, mon instabilité mentale prend le dessus, pour laisser place à la puissante démence, déraison, sainte folie, et sublime meurtrière de mon esprit égaré. Pour les combattre, je ne devais plus être seule, mais mon esprit peine à s'ouvrir, les barreaux de ma consciences peinent à s'ouvrir. C'est pour moi une vie nouvelle qui commence, un pensionnat bondé d'individus qui probablement seront amenés à me parler, à dialoguer. SI je sais que j'aurais du mal, je veux le faire, je veux me forcer pour retrouver un contact avec le monde, pour que mon inexistence cesse. J'ai déjà entamé ma dix-huitième année, et je n'ai plus personne: ni famille ni amis. Je n'ai que toi, toi qui ne veux plus me revenir. En ce jour de misère pour mon âme, une lumière nouvelle née, mes aubes ne seront peut-être plus aussi sanglantes que les précédentes. Je regrette mon ancienne vie de famille, je regrette mes anciens amis, mais si je me suis coupée du monde pendant presque deux ans, c'est par amour. Et cela, je ne le regrette pas. J'attends ton retour, mais cette attente se fera dans un cadre bien plus beau que celui de ma prison: celui du monde extérieure. Ma liberté ne sera que partielle, mais déjà elle me redonnera goût à la vie, j'en suis certains.

je m'offre un allée simple pour l'Enfer, car l'enfer, c'est les autres.



Et moi ?
Pseudo :
Âge : 17
Sexe : M
Comment avez-vous connu le forum ? Par mon double compte, Sasurai Washi What a Face
Remarque(s) : /

Code : La louve a trop mangé. ~


Dernière édition par Fjaril Amalia le Mer 7 Nov - 13:08, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne. Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne. EmptyMer 7 Nov - 12:48

    Re-bienvenue ! :)
Alors la fiche est joliment écrite (je vois que tu aimes que tes personnages aient des ailes. =P). Par contre pour l'histoire il faudrait vraiment essayer de détailler l'histoire proprement dite d'Amalia. Pour Sasurai j'ai fait une exception et je n'ai rien dit dans la mesure où il a perdu la mémoire mais je suppose que ce n'est as le cas d'Amalia ? Il faudrait donc que tu essayes d’expliciter un peu plus les choses, de parler de son enfance, de sa situation, de son arrivée à Hikari, etc.
Ensuite il y a un problème avec ton avatar et je suis navrée de devoir te dire ça étant donné que je le trouve vraiment joli mais l'avatar de ton personnage doit obligatoirement appartenir à l'univers manga/anime. Il faudra donc le changer. :/
N'oublie pas aussi d'ajouter l'icône à ta fiche et de générer ton passeport. Voilà, bon courage !
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MessageSujet: Re: Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne. Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne. EmptyMer 7 Nov - 13:09

Tout ce que tu as demandé est fait ! J'allais t'envoyer boulet pour l'icône, parce que ça m'énerveuh mais bon, finalement c'est pas si compliqué XD

L'ajout à l'histoire commence ici:
Citation :
La libération corporelle

Et se poursuit jusqu'à la fin.

Pour l'avatar, j'ai changé.

ps: j'aime les ailes ! C'est ce qui correspond le mieux à mes personnages, car je mise énormément sur la liberté et l'emprisonnement.

ps²: pour l'avatar, j'aurais du m'en douter puisque c'est écrit dans les règles mais étant donné que c'était du dessin je me suis dit que cela passerai. M'enfin, pas grave, l'actuel est couwl même si je ne sais pas d'où il est tiré :
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MessageSujet: Re: Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne. Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne. EmptyMer 7 Nov - 14:16

Wow ! En effet le nouvel avatar est vraiment beau ! *-* Et c'est parfait pour l'histoire. =)
Par contre si je puis me permettre : tu as oublié l'activation de ton passeport. Razz
(Oui je sais, je suis chiante mais bon c'est le protocole que veux-tu...)
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MessageSujet: Re: Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne. Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne. EmptyMer 7 Nov - 18:52

Fait !

Merci pour l'avatar :3
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MessageSujet: Re: Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne. Fjaril Amalia - 653 jours de géhenne. EmptyMer 7 Nov - 18:56

    Tu es validé ! :)

    Je ne te redonne pas la marche à suivre : avatar, logement...
    En revanche, j'inverse le nom et le prénom dans ton pseudo, puisque le prénom doit être en premier.

    Bon jeu avec ce nouveau compte ! ~
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