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Washi Sasurai - Le premier jour d'un condamné

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Washi Sasurai - Le premier jour d'un condamné Empty
MessageSujet: Washi Sasurai - Le premier jour d'un condamné Washi Sasurai - Le premier jour d'un condamné EmptyVen 26 Oct - 21:41

Avant que vous ne lisiez ma présentation, je préfère expliquer deux-trois points qui sont nécessaires à sa lecture. Tout d'abord, j'ai opté pour une histoire sombre. J'avais le choix entre une histoire très émouvante, glauque et mystérieuse, une histoire classique (et ça jamais, enfer et damnatiooooooon !), et une histoire extrêmement mystérieuse, avec un brin de philosophie et de lyrisme, et un brin car peu développée. Cette présentation, originellement est approximativement 10-15 fois plus longue, développée et complexe. J'ai choisis quelque chose de court afin de ne pas vous encombrer d'une lecture trop longue, et surtout pour laisser planer sur mon personnage un véritable mystère.

Certains éléments de ma présentation sont repris de présentations que j'ai effectué sur d'autres forums (juste des éléments, pas l'histoire, mais le mental complet en est repris). Bien entendu, je pourrai pover que c'est de moi

Washi Sasurai

Washi Sasurai - Le premier jour d'un condamné L_2_bm10
Nom :Washi
Prénom : Sasurai (en japonais, vagabond, marginal)
Sexe : M
Âge et date de naissance : 18 ans, né le 10 Juin 1994
Race : Aigle
Sexualité : épanouïe ! Hétérosexuel

Métier : Non
Classe scolaire : 3e année



Morphologie
Possédant un charisme et une élégance à toute épreuve, on peut affirmer sans nul doute que Sasurai est l'incarnation même de la grâce. Ses mouvements sont fluides, sa démarche de même, et chacun de ses pas nous rappel l'envol d'un oiseau: se projettant vers les cieux à chaque mouvements, il est extrêmement marqué par sa forme animale aussi bien physiquement que mentalement. Il est courant que certains de ses interlocuteurs se perdent dans le vert profond de ses yeux, et y trouvent la tristesse et le désenchantement d'un être pessimiste et profondément désespéré. Sous ses yeus se dessinent des cernes extrêmement marquées: elles sont la marque la plus flagrante de sa forme animale: lorsqu'il est aigle, son pelage dessine sous ses yeux des cernes lui donnant cet air désinvolte et désenchanté. De plus, si l'on regarde de plus prêt ses pieds (et il faut savoir qu'il marche constamment pieds nus), on peut y voir des ongles s'apparentant à des serres, griffes assérées de l'aigle royal.
Sous sa forme animale complète, il fait partie des plus majestueuses créatures ailées de ce monde: les aigles royaux, puissants animaux, symboles de liberté et de pouvoir. Son pelage, tout comme ses cheveux en forme hybrides est châtain. Il possède un énorme bec, ainsi que de longues ailes qui ne s'épuisent que très rarement.
Psychologie
" JE est un autre. "

Un poète apatride aux multiples facettes. Il est tout le monde et personne à la fois, ce qui fait de lui un être unique. Il est un être de folie, issu de la démence la plus totale. Il n'est qu'une ombre, un véritable artiste, à la fois sombre et lumineux. En vérité, il est un personnage fait uniquement de paradoxes. Il est constitué de vices et d'hystérie, de sagesse et d'intelligence. Adepte de la culture psychédélique, ses hallucinations deviennent source d'inspiration pour décrire tout ce qui est inconnu au reste du monde, pour décrire ce qu'il voit, lors de ses délires les plus déraisonnables et absurdes. On ne peut lui attribuer d'identité, on ne peut lui attacher de personnalité; ni d'affection véritable. Il n'est pas le genre de fous que l'on peut s'imaginer, il a simplement sa part de déraison: lorsqu'un homme atteint un degré d'intelligence suffisamment élevé pour voir le monde autrement et pouvoir trouver des réponses à des questions que tout individu se pose un jour, il devient fou aux yeux d'autrui, incapable de le comprendre, et de cerner une personnalité troublante mais trop complexe, mais pourtant si captivante. Admirablement effroyable, le génie qui l'habite est tapis dans les méandres d'un esprit comparable à une forteresse. On ne peut y pénétrer, mais on peut l'assiéger. Si l'on sait une chose de lui, c'est qu'il est un véritable leader, mais aussi un génie de la manipulation et de la langue. Capable de percer les secrets les mieux gardés de certains hommes, de les piéger, ou de les inciter à la confiance, il peut par de simple mot les anéantir ou les pousser à révéler ce qu'ils se sont jurés de garder.


" Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer. "

Tout homme connait un jour la fatalité. Et bien qu'il soit différent, il n'a pu l'éviter: la brusque désillusion l'a alors anéantie, écrasée. S'en est suivie une période d'errance qu'il crut éternelle. Une errance mentale. Une errance de l'esprit. Une errance qui lui fit connaitre l'égarement psychologique le plus merveilleusement abominable. Celui où la folie naquit. Comme pour beaucoup d'individu, il s'agit de la perte d'un être cher. C'était bien plus profond que cela, mais il s'agissait d'une attraction indescriptible envers la seule personne qui s'était permis de forcer les remparts de son esprit et de le bercer au rythme d'un amour passionnel. Il est évident que le simple fait de se remettre d'une telle perte est inconcevable: la cicatrice, invisible mais présente, ne part jamais. Et cela a parfaitement affecté L, qui aujourd'hui n'est plus qu'un homme inassouvi, insatisfait, inconstant, instable. Son cœur supplicié réclame les battements d'une âme éteinte, et la chaleur d'une peau maintenant frigide.

" Et par le pouvoir d’un mot je recommence ma vie. Je suis né pour te connaître pour te nommer Liberté. "

Liberté: il ne s'agit pas d'un mot ! Aux yeux de L, liberté est synonyme de vie, d’envol, d'échappatoire, d'évasion. Nul ne pourra la lui retirer. Ni Dieu ni homme, ni héros ni bandit ne pourraient lui prendre. Cela serait synonyme, cette fois-ci d'échec et de mort. Un homme n'est capable de s’épanouir pleinement que dans un cadre de libre arbitre total, d'autonomie. Dès lors qu'il ne peut plus effectuer lui même ses choix, il lui est impossible de cerner le sens de sa vie, de trouver sa place dans la société. Il doit rentrer dans un moule, suivre la masse tel un mouton, et sauter, tête la première dans un enfer cacophonique.

" La nature n'est qu'un spectacle de bonté. »

En parfaite osmose avec la nature, L l'affectionne tout particulièrement; Elle lui offre le calme et la sérénité, lui permet de méditer au calme et en parfaite harmonie avec lui même, ainsi qu'avec le monde. Chez elle, il aime tout: le calme de la nuit l'apaise, le souffle de l'air le vivifie, le soleil réchauffe son cœur, et refroidit maux qui le consument. La lune lui apporte l'inspiration, et les étoiles le plongent dans le monde des rêves, celui qui n'appartient qu'à nous. Alors il plane, au delà des nuages les plus haut et il nage, dans les océans les plus profonds...


" Ce qui a été compris n’existe plus. "

Tant de questions... Bousculent l'esprit de l'homme; et parfois, même sans le vouloir, il répond aux plus complexes d'aspect. Mais si l'une d'entre elle reste sans réponse pour le genre humain, c'est bel et bien celle de la place que l'on occupe dans la société, et plus particulièrement sur Terre. Mais si ce mystère nous parait éternellement irrésolue, c'est pour la simple et bonne raison que l'homme ne veut se l'avouer. Car ce qui a été compris n'existe plus. Si on comprend notre vie, celle-ci n'existe plus. Certains secrets n'existent que pour n'être jamais résolus, et pour laisser à l'homme la liberté de croire en ce qu'il souhaite, et de choisir pour lui le meilleur.


" Dieu est derrière tout, mais tout cache Dieu. "

J’avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c’était ça la liberté. Je n'avais pas besoin de Dieu, pour être libre. Et sans Dieu, nul enfer n'existait. J'avais le choix de m'en aller sereinement, en sachant pertinemment que nulle suite n'aurait lieu. Mais je m'en irais en ayant accomplit une existence où j'aurais vécu pour moi, et non pour honorer père, mère et famille. J'aurais eu le mérite, d'oublier toute ces conneries: le conformisme, l'honneur, la fierté, la compassion. J'aurais fais mon devoir pour le monde, même si l'échec s'avérait cuisant. Peu m'importe, je n'ai plus ni espoir ni motivation, ce n'est que la folie qui me guide, et qui accomplit mon destin.

"Une conclusion, c'est quand vous en avez assez de parler"

Si L n'a pas eu de contact avec d'autres hommes, ou plutôt "hybrides" depuis désormais des années, son instinct animal peut encore le guider, et par conséquent, la barrière entre lui est autrui peut en être abattue. Il reste un homme à femme, séduisant, mais à la mentalité tellement marginale et décalée qu'il est difficile de le cerner et de s'y attacher réellement.


Histoire
Et si la puissance de la volonté humaine était absolue, si la volonté d'oublier était bien plus forte que le simple rejet d'une vie marquée par l'instabilité et la haine ? Je n'ai connu que la souffrance, et les seules marques de mon passé, mes seules attaches demeurent de graves troubles mentaux. Si ma mémoire ne me revient que par fragments, il ne s'agit nullement d'une reherche personnelle de toutes races d'une existence antérieure: mes souvenirs me reviennent par fragments. "Aujourd'hui, il ne me reste que des miettes d'une mémoire que j'ai semé aux quatre coins du monde, au gré du vent et de l'égarement psychlogique le plus total." Si je ne suis pas en mesure de vous narrer mon enfance, je peux avec certitude vous dévoiler les plus sages aspects de mon être, mais aussi les plus sombres secrets qui se cachent au sein de la luminosité de mon esprit.

"Je ne suis que l'ombre d'un poète exécuté, flânant dans les méandres de l'enfer comme un couple dans un parc, et dont seul le reflet peut révéler la véritable nature."

Si l'homme existe grâce à autrui, qui le juge et le fait "être" en parlant pour ou contre lui, alors il m'a suffit de m'effacer aux yeux des gens, de m'envoler, dans les plus aux sommets de ce monde, de voyager au coeur de notre océan céleste, approchant le firmamant et la sainte lune qui me servait de muse. Nombre d'esprits ont affirmé que la solitude à l'état pur ne pouvait exister, que notre conscience ne pouvait que nous renvoyer à l'autre; pourtant, javais parfaitement réussi à éliminer toutes pensées envers autrui, les réservant pour les morts, pour les fantômes de mon passé qui chaque jour ne faisaient que me tuer à petit feu.

Vous l'aurez compris, je suis un être de solitude et de démence, un être du voyage venu des cieux, mais je ne suis certainement pas un dieu, sinon un diable: je ne suis qu'un miséreux, cherchant réconfort auprès de la puissante, déraison, sainte folie et mère des pauvres hères. Il ne reste à présent aucune trace de mon passé, seules sont rester des douleurs auxquelles je ne crois plus, et depuis bien longtemps déjà, j'ai rejeté de tout mon être ce qui était mon enfance et mes actes passés. Peut-être alors pouvais-je ne plus exister, et m'égarer totalement; car je ne vivais que pour l'égarement, que pour le voyage et l'envol, l'extase de nager dans les flots du temps, de n'être plus que l'ombre de monde, rasant les murs et avançant dans un obscur voile de mensonge nommé espoir: l'espoir d'un jour retrouver ma mémoire perdue à force de volonté. Je suis le fléau de ma conscience, je suis l'ombre du temps. Je suis l'ombre de notre lumière.

Et si l'on me demandait les raisons qui m'ont poussé à rejoindre un lycée malgré cette instabilité, je dirais essentiellement la volonté d'élargir ma culture générale. Il s'agit d'une sorte de défi, mais le véritable défi n'est-il pas en réalité de tester mes rapports et ma capacité à cohabiter de noueau avec autrui ? Je sais que mon esprit analytique, ma capacité à user de logique et mes capacités de mémorisation sont énormes, je sais que ma vie entière j'ai écris, écris et toujours écris: il s'agit là d'une certitude indubitable, indéniable, et du seul souvenir concret que je puisse affirmer. J'ai compté chaque jour de ma vie, chaque jour de souffrance et d'égarement spirituel, et je dois avoir 18 ans. Dix-huit années de brasier en mon coeur... Et en écrivant cette courte mémore de ma vie, un élément me revient: peut-être ai-je souffert de la disparition d'une personne promise à moi, destinée à éclaircir le reste de ces longues années de solitude et d'existence incertaine. Peut-être avais-je cotoyer la mort, peut-être l'avais-je haïs, peut-être m'avait-elle tuée intérieurement. La mort m'avait tué. Non, elle m'avait envoyée en enfer: et "l'enfer, c'est les autres."


Et vous ?
Pseudo : Yujoba/L.Sasurai. Mais réellement en vrai de vrai dans la vie réelle je m'appelle Lucas.
Âge :[ /b]17 ans
[b]Sexe :
M
Comment avez-vous connu le forum ? Via Yoru
Remarque(s) :

Code : La louve s'est régalée. ~
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http://owari-no-hajimari.jdrforum.com/
Messages : 1029

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En couple avec: ~
Métier/Activité: Serveuse au café Yasui
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MessageSujet: Re: Washi Sasurai - Le premier jour d'un condamné Washi Sasurai - Le premier jour d'un condamné EmptyVen 26 Oct - 22:54

Tadam, tadam... Tu es validé ! :)
N'oublie pas de faire recenser ton avatar (ici), de faire ta demande de chambre (ici) et même éventuellement d'emploi (ici).
Amuse-toi bien parmi nous !
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Washi Sasurai - Le premier jour d'un condamné

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